Projets pédagogiques

L'opération EMMAUS CONNECT samedi a eu un véritable succès.
71 ordinateurs ont trouvé preneurs.
Les parents et élèves remercient tous chaleureusement l'équipe pour cette initiative.

Mardi  7 novembre et jeudi 9 novembre,  les classes de 6ème Josephine Baker et Amelia Earhart se sont rendues au Musée d’Aquitaine dans le cadre de l’exposition temporaire sur l’art préhistorique.
La 6ème Amelia Earhart raconte :
« Pendant la visite, nous avons observé des reconstitutions de peintures de grottes préhistoriques, une reconstitution d’un instrument de musique préhistorique (une ronde) et une sculpture (copie de La Vénus de Brassempouy ou la Dame à la capuche). La médiatrice nous a expliqué qu’aujourd’hui on doute du sexe féminin de cette sculpture. Dans une pièce, nous avons observé des animaux de la préhistoire empaillés et des vitrines remplies de sculptures et gravures qui représentaient ces animaux.
Après la visite, nous sommes partis dans une salle pour faire des activités. Nous avons fait de la peinture à la manière de la préhistoire : on a dessiné des animaux avec du charbon et on les a peints avec des poudres comme de l’ocre. Et on a aussi fouillé 4 bacs comme des archéologues. Dans ces bacs, il y avait toujours la trace d’un foyer (le feu). On a découvert des ossements d’animaux (la boucherie de l’époque), un lieu où on taillait des silex et  un atelier d’artiste. »
Pour les Josephine Baker, le programme était identique à l’exception de l’activité peinture remplacée par l’activité gravure.

Julie MAZET

Dans le cadre d'un projet d'anglais, les 6C et 6B sont allés au CAPC voir l'exposition de Lubaina Himid, Naming the money.

Les élèves ont beaucoup apprécié cette sortie !

Déployée au cœur de la nef du CAPC, l’installation Naming the Money, réalisée en 2004 par Lubaina Himid, se compose d’une centaine de silhouettes découpées dans des planches de contreplaqué peintes et figurant , dans des situations d’activité et de vie des serviteurs africains qui étaient toujours représentés comme simples faire-valoir auprès de leurs maîtres dans la peinture européenne des XVIIe et XVIIIe siècles.

Ainsi extraits de scènes dans lesquelles ils n’étaient que les symboles de la richesse et du statut social de leurs maîtres, ces esclaves sont libérés par Lubaina Himid qui leur redonne un corps, une autonomie, un nom et une capacité d’action individuelle et collective.

Représentés dans l’exercice de diverses professions, ces personnages racontent, sur un fond sonore associant musique et texte, leurs identités changeantes et le passage de leurs noms et métiers africains noms et rôles qui leur sont imposés dans les cours royales européennes.

Le jeudi 7 novembre, dans le cadre du projet "Cultures urbaines" autour des différences qui nous rassemblent, les élèves de 4 A et C du cours de Mme Ojeda ont rencontré leurs correspondants du collège de Blaye et sillonné les quartiers du nord de Bordeaux pour découvrir des œuvres de street art.

"Nous sommes arrivés à 8h au collège pour que Mme Ojeda nous prépare à la sortie (livrets à compléter pendant la visite) et à la rencontre de nos correspondants.

Nous les avons accueillis en salle polyvalente autour d'un petit déjeuner offert par le collège et avons terminé cet accueil par une jeu "des prénoms" pour se souvenir plus facilement du nom de tout le monde.

Nous sommes ensuite partis du collège pour visiter différents lieux de Bordeaux et découvrir différentes œuvres de street-art. Nous avons commencé par le quartier du Grand Parc, la première œuvre se trouve au GP3. Il s'agit d'un travail de l'artiste français Stéphane Carricondo qui trouve son inspiration dans le continent africain. La deuxième que nous avons vu se trouve au GP1, elle représente un chat très coloré qui a été réalisé par l'artiste mexicain Spaik.

Nous avons continué notre visite en rejoignant les quais jusqu'au skate parc, qui est le plus grand skate parc en plein air d'Europe puis nous nous sommes ensuite rendu au "Mur" de Bordeaux qui est réinvesti toutes les trois semaines par des street artistes.

Du côté du quartier des Chartrons, nous avons pu admirer de belles œuvres également : une signée Spaik représentant des loups dans le même style que celle du GP1, une autre du crew animalier Monkey Bird, et bien d'autres encore.

Nous avons ensuite pris le tram pour visiter le site "Les vivres de l'art" qui est une résidence d'artistes implantée dans les anciens abattoirs des Vivres de la Marine. Nous y avons vu des fresques, des sculptures,... Nous bien discuté et rigolé avec nos correspondants, ça a été un moment très agréable.

Nous nous sommes ensuite dirigés vers le quartier des bassins à flots où nous nous sommes arrêtés devant les les œuvres inspirées d'Alice au pays des merveilles. De là nous avons pris le BatCub pour traverser la Garonne et nous rendre sur le site de Darwin qui se trouve rive droite de bordeaux. C'est un lieu alternatif que nous avons adoré car nous y avons découvert beaucoup d’œuvres de différents artistes utilisant des techniques très variées : collages, pochoirs, land art,...

Nous nous sommes séparés de nos correspondants avant de revenir au collège. C'était une belle journée ! Nous avons beaucoup aimé cette sortie et avons hâte de de revoir nos correspondants blayais. Nous remercions le collège du Grand Parc et Mme Ojeda notre professeure d'espagnol pour ce projet !"

Les élèves de 4 A-C

Le groupe d'élèves participant à l'atelier "Robots" animé par Mmes Djellouli (technologie) et Lacaze-Laban (mathématiques) sont ont pu découvrir l'exposition "Robots" présentée par Cap sciences. Au programme, histoire de la robotique, applications, programmation, procès virtuel, casque 3D...

Dans le cadre du projet « Parcours Cultures Urbaines » proposé par Madame Ojeda, les élèves de quatrième A et C se sont rendus à l’institut Bernard Magrez pour visiter l’exposition «1,2,3 soleil» du street artiste parisien Seth.